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Livres et ouvragesLes cinq carnets d'Yvonne (Maurice Binder) | Journal des années de guerre, 1914-1918, à Wesserling.
26 juillet 1914, la guerre est toute proche. Yvonne Stamm, 16 ans, habite à Wesserling (68). Elle ouvre un journal sur un cahier d'école et continuera ainsi à raconter ses journées jusqu'au 11 novembre 1918 sur un ensemble de cinq carnets. Retranscrit par son fils Maurice Binder, ce journal des années de guerre a été édité par Jérôme Do Bentzinger Editeur, en partenariat avec le Parc de Wesserling et le Musée textile de Haute-Alsace sous le titre Les cinq carnets d'Yvonne
Disponible en librairie ou sur le site de l'éditeur.
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| Hartmannswillerkopf - Ephémérides 1916 - 1918 (Philippe Koch) | Philippe KOCH nous trace les précieuses dates qui construisirent le décors du haut-lieu d'Histoire que fut le Vieil Armand. Pour beaucoup, les temps guerriers, sur cette montagne s'arrêtèrent en 1915. L'auteur et les documents qu'il a rassemblés nous démontrent le contraire. En retraçant l'essentiel des évènements locaux entre 1916 et 1918, balayant quelques idées reçues, il nous donne les clés d'une porte de granit que les belligérants en quatre ans de guerre n'ont jamais ouverte. Dans la collection "La Grande Guerre", 112 pages - 15 photographies inédites - 10 cartes couleur - tirage : 750 - 35€ Un livre à ne pas manquer et à commander sur le site des Editions CSV,
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| Chargez les mulets ! (Georges Harrand) | Georges Harrand, né en 1894, admis à l'École Polytechnique le 7 août 1914, rejoint le 37e Régiment d'Artillerie de Campagne, puis est affecté au 2e Régiment d'Artillerie de Montagne en tant que sous-lieutenant. Arrivé sur le versant alsacien des Vosges au début de mars 1915, il sert avec son régiment dans le secteur du Sudel et de l'Hartmannswillerkopf, puis dans la vallée de la Fecht durant l'été 1915 et à nouveau à l'Hartmannswillerkopf au cours de l'hiver suivant.
Après avoir séjourné dans ce même secteur en 1916, il est pour peu de temps à la Chapelotte en 1917 avec le 1er Régiment d'Artillerie de Montagne puis prend à la fin de cette même année la direction de l'Italie, où il combat en 1918 avant de partir vers l'Ukraine.
Au moment où il rejoint son unité, il vient de recevoir de son père un appareil photographique Kodak Vest Pocket avec lequel il réalise durant toute la guerre plus de 300 clichés. Le présent ouvrage en rassemble une centaine, pris en Alsace et dans les Vosges.
Georges Harrand tenta de publier durant l'entre-deux-guerres ses souvenirs qu'il avait intitulés « Chargez les mulets. Souvenirs d'un artilleur de montagne », qui regroupait les épisodes marquants de son expérience de la Première Guerre mondiale, mais sans succès. Ce récit, qui n'avait jamais été publié, et ses clichés, sont donc inédits.
Pour commander ce hors série auprès de l'association Dialogues Transvosgiens : http://monsite.orange.fr/associationdt/page6.html
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| Élie Viallet capitaine de chasseurs alpins AOÛT 1914 – JUIN 1915 (Jacques GASQUI) | En exactement dix mois de campagne, du baptême du feu près du col de la Schlucht, le 15 août 1914, à sa mort le 15 juin 1915, sur les pentes de l'Hilsenfirst, le capitaine Viallet du 13e bataillon de chasseurs alpins a écrit une centaine de lettres à sa famille qui nous permettent de suivre pas à pas l'itinéraire dans les Vosges de ce « diable bleu » et de son unité, avec en point d'orgue les combats de Mandray, de l'Hartmannswillerkopf et de l'Hilsenfirst.
Richement illustré par de nombreux documents inédits, ce livre présente aussi l'originalité de dresser au fil des événements le portrait d'autres soldats des troupes de montagne, et d'évoquer ainsi plus collectivement l'histoire de tous ceux qui ont combattu dans les Vosges au cours des très dures années 1914 et 1915.
Coïncidence de l'histoire, deux d'entre eux, devenus plus tard généraux, ont vécu à Saint-Georges-de-Commiers, petit village de l'Isère dont est originaire le capitaine Viallet et méritent une place de choix. Le premier est Antonin Regard, alors lieutenant au 22e BCA, blessé tout comme Élie Viallet dans les combats de Mandray fin août-début septembre. Le second est le chef de bataillon Auguste Lardant, qui prend le commandement du 7e BCA à l'Hilsenfirst le jour même où est tué le capitaine Viallet.
La mémoire du capitaine Viallet est encore présente parmi les chasseurs alpins : le bâtiment de la 4e compagnie du 13e BCA au quartier de Roc Noir porte toujours le nom du capitaine Viallet ; il y a toujours des vestiges du camp Viallet à l'Hilsenfirst.
Préface du général de division Hervé Wattecamps, commandant des Écoles militaires de Draguignan et commandant de l'École d'infanterie.
Avant-propos du général Benoit Houssay commandant la 27e brigade d'infanterie de montagne.
Editeur : BERNARD GIOVANANGELI ÉDITEUR 22, RUE CARDUCCI 75019 PARIS
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JACQUES GASQUI est un cousin du capitaine Viallet, dont il habite toujours la maison et détient les archives. Mathématicien et professeur honoraire des universités, il a également exercé la fonction de maire de Saint-Georges-de-Commiers. |
| Les Poilus dAlaska - Moufflot, Hiver 1914 (Brune, Delbosco, Duhand) | Novembre 1914, Alaska. Dans le lointain village de Nome, deux Français, un ingénieur, René Haart, et un curé, le père Benoît, s'apprêtent à embarquer, destination l'Europe. La France rappelle à elle tous ses hommes disponibles. Ils laissent derrière eux Scotty Howard, personnage rugueux réputé être un as du traineau, l'un des rares humains capables de se faire comprendre des chiens à demi sauvages qu'on emploie ici pour courir les glaces.
Novembre 1914, dans les Vosges. La neige est partout. Louis Joseph Moufflot, capitaine de l'armée française, est donné pour mort lors d'une embuscade meurtrière qui décime sa compagnie. Contre toute attente pourtant, récupéré et soigné par les Allemands, il survit. Mû par un formidable instinct de conservation, il réussit même à leur échapper malgré ses graves blessures. Réintégré dans l'active alors que les troupes françaises de ce secteur ne savent comment surmonter le terrible hiver qui entrave tous leurs mouvements, Moufflot, profitant de l'influence que lui vaut son nouveau statut de héros, propose une solution inédite : mobiliser par centaines des chiens de traineau venus d'Alaska pour assurer les communications sur le front des Vosges. Mais il faudra pour cela faire appel à l'expertise de Scotty Howard, envers lequel Moufflot, lui-même ancien de l'Alaska, nourrit un grave contentieux.
"Racontée avec panache et passion, l'histoire véridique d'une meute de 400 chiens de traineau d'Alaska mobilisés durant la Première Guerre mondiale », Didier Borg, éditeur.
Scénario : Michael Delbosco & Daniel Duhand
Dessin : Félix Brune
Couleurs : Albertine Ralenti
Casterman éditeur
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